Pour grand nombre de médecins, la maladie résulte d'un cocktail regroupant les éléments suivants : génétique, hasard et hygiène de vie. Mais là ou certains scientifiques ne se rejoignent pas, c'est sur l'importance de chacun de ces facteurs.
Début 2015, dans la revue Science, des chercheurs déclaraient que, pour eux, le facteur hasard était le plus important. Ils expliquaient leur position par le fait qu'on ne savait pas très bien pourquoi certains cancers se déclaraient dans certains organes et pas dans d'autres et que la division cellulaire, responsable de l'apparition du cancer, était un mécanisme tellement aléatoire qu'il aurait été trop difficile d'en isoler les causes exactes. Mais voilà qu'une nouvelle étude, vient, elle, remettre le facteur environnemental au centre du jeu. En effet, les chercheurs de l'Université Stony Brook à New York ont établi que notre hygiène de vie peut réellement influencer le risque de développer un cancer. Celui qui touche le poumon, par exemple, est un indicateur fort de la nocivité de la cigarette ou de la...
Cliquez ICI.